jeudi 6 mai 2010

La tragédie de l'uniforme


Une autre caractéristique de nos coupins les angliches, c’est les uniformes. Ca doit se faire dans plein d’autres pays, mais perso c’est la toute première fois que j’ai l’occasion de regarder des mioches en mode clones. En tout cas, c’est vachement drôle !



Plus les petits sont petits plus c’est chou… C’est fou ce qu’un ptit garçon de 4-5 ans ressemble à un mini pingouin en costard !

Quand les enfants grandissent, c’est moins mignon, mais le potentiel de foutage de gueule monte en flèche, parce que l’ado bridé dans ses envies d’identification par le look se démène comme un fou pour y arriver, quelques soient les bâtons qu’on lui met dans les roues.

Quasi tout se joue dans la coiffure, où chacun peut laisser libre court à son sens artistique. Chez les mâles prépubères, l’important est la mèche et la façon dont elle est sculptée. Chez les ptites poulettes, il faut soigner l’effet coiffé décoiffé, pour un air nonchalant et rebelle.

Et c’est là que les anglaises sont super fortes car même en petit uniforme de fillette sage, elles arrivent à avoir l’air salope ! Dans les petites ballerines vernies, on peut déjà apercevoir la future pouf du samedi soir qui titubera avec conviction sur le trottoir, à moitié nue et ivre morte dans ses plateformes Loana…


Car les uniformes de leur enfance peuvent expliquer deux symptômes de la pétasserie des jeunes anglaises de base :

  • Leur aisance sans faille, même avec des robes qui font soutien gorge quand elles lèvent les bras : Nous, Françaises, passé un certain âge, quand on ne laisse plus maman choisir nos tenues, on range au placard nos robettes écossaises et jupettes à volants, pour aborder sereinement l’adolescence en jean, baggy, pattes d’éléphant ou autre. On reprend la jupe plus tard, plus matures, et après une période de réadaptation. Les Anglaises, elles, ne quittent jamais leurs jupettes d’écolières et sont donc privées de toute pudeur basique. Habituées à être à moitie à poil depuis la plus tendre enfance, elles n’ont plus aucun sens du ridicule.
  • Leur envie de porter des trucs fluo : Franchement, après des années de vert sombre ou de bleu marine à écusson, qui peut les blâmer pour ça ?

Voilà comment on fait sombrer des générations entières de femmes dans la semi prostitution…

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