mercredi 24 février 2010

Not with the wind...

J’ai sauté sur le nouveau livre de Mo Hayder (sorti début Février), la bave aux levres et l'oeil brillant. Gone est la suite de Ritual et skin, que l’auteur appelle la série de l’homme qui marche « the Walking man ».

On retrouve Flea marley, chef de l’équipe de plongeurs (police) de Bristol, et Jack Caffery, inspecteur de la « crime investigation unit ». Flea, après six mois au fond du trou pour des raisons personnelles (je peux pas dire, ce serait spoiler, c’est mal) essaye de remettre sur pied son équipe et son ego, alors que Caffery mène l’enquête sur un carjacker (c’est un peu un voleur à l’arrachée, mais avec des voitures, aucune idée de la traduction française…) qui vole des voitures avec des enfants à l’intérieur (un peu comme des voitures surprises, quoi… Je sors, pardon).

Plus sérieusement, j’ai beaucoup aimé ce livre ! L’intrigue est vraiment brillante, elle m’a scotchée. C’était bien ficelé, surprenant, et je crève d’envie de savoir ce qu’il arrivera à Flea/Jack. Je commence aussi à être sacrement curieuse de savoir ce qu’il va se passer avec le fameux « Walking man », qui pour l’instant n’est qu’un personnage secondaire (mais intriguant)… Bref, amis des polars, je recommande chaleureusement ! Par contre, vaut mieux avoir lu les deux d'avant, quand même...

Le seul petit problème, c’est que je suis une vraie lopette niveau flegme une fois la nuit tombée, ce qui fait que lire des histoires de pédophiles et d’endroit sombre, ca va la journée, mais c’est l’enfer le soir. Le mot lopette est un peu fort, disons que j’ai une imagination débordante, et qui déborde toujours du mauvais coté. Quand je suis seule chez moi, par exemple, je n’imagine jamais des bisounours en train de danser dans mon salon ou un joli champ de coquelicot où volent les oiseaux qui pioupioutent de bonheur sous un doux soleil printanier, mais plutôt des gens égorgés agonisant sur la moquette, ou bien des restes humains accrochés aux rideaux, etc…

Donc j’ai aimé, mais j’ai un peu souffert…


mardi 23 février 2010

Post de grognon qui sert à rien (juste pour me défouler)

Pour pouvoir accueillir d’éventuels visiteurs dans les règles de l’art, le Chubchub et moi avons investi dans une chauffeuse deux places. On avait pensé à un matelas, mais c’est beaucoup plus difficile à stocker et plus cher, et, on a beau aimer nos éventuels visiteurs, on n’est pas crésus non plus.

Donc va pour la chauffeuse, qu’on a eu l’immense privilège de tester hier soir (on devait bien se douter, inconsciemment, que quelque chose n’allait pas, vu qu’on a laissé notre lit à nos visiteurs fragiles). Donc c’est confirmé, la chauffeuse est une vraie saleté, je ne sais pas ce qu’il avait fumé, le mec qui a rajouté « deux places » après « chauffeuse », mais ça devait être puissant. Parce que non seulement en largeur c’est tout serré, mais en plus il manque 50 bons centimètres en longueur. C’est peut être une chauffeuse deux places pour brindilles naines, mais pas pour adultes moyens.

Donc voila, s’il vous prend l’envie d’acheter une chauffeuse deux places à Argos, en Angleterre, abstenez vous, c’est un canular.

A part ça, le thème du jour c’est cosette (je suis encore malade, alors je considère que c’est mon devoir de me plaindre) :

  • Mon boss est un con, il me colle des réunions tout le temps, donc je ne peux pas travailler. Aujourd’hui, une réunion qualité, une présentation que je suis censée faire, ai-je appris ce matin, et une réunion avec deux statisticiens à laquelle je ne vais rien comprendre. Je prie tous les jours la reine mère pour m’épargner ces conneries, mais rien à faire, elle s’en fout.
  • Je viens de déménager sur un immense bureau qui déchire, mais mon voisin, en plus d’avoir une tête bizarre qui me fait un peu peur et de parler trop doucement pour que j’entende que dalle (pour faire chier), il couine. Tout le temps. C’est atroce. C’est une sorte de petit « mmh » très bref et tres léger, mais qu’il émet toutes les 13 secondes… je crains pour ma santé mentale. J'ai envie de lui casser les dents à coups de pieds, j'ai honte...

Voilà, j’ai bien pesté, je vais mieux ! En bonus, la musique que j’écoute tres fort quand je suis énervée :


lundi 22 février 2010

Country side


Très bon week end, ensoleillé, hou, le miracle ! Le Chubchub et moi sommes donc montés sur notre fier destrier pour aller faire chauffer la carte « Heritage » au Nord d’Oxford.

On a d’abord vu les restes d’une villa Romaine, c'est-à-dire des ptites pierres dans les champs, c’était très mignon (notez bien le ciel bleu!):



Ensuite, on est allé voir Minster Lovell, qui est un très très très joli village, tellement mignon qu’à coté Mignon-Village-Sur-Tamise ça ressemble à Mulhouse. Là bas, il y a les ruines du château du fameux Minster Lovell, et ça vaut le déplacement !





Je suis d’autant plus fière que j’étais malade comme un vieux chien, avec du papier de verre dans la gorge, un marteau dans la tête et des vieux frissons partout. En plus, comme Jeudi soir, j’ai repris le yoga après deux mois de larvage intensif, j’étais terrassée par les courbatures, très douloureuses, ce qui fait que j’ai un peu couiné, principalement quand je contractais mes muscles. Donc tout le temps. Mais je suis quand même vachement fière d’avoir bravé la maladie et les courbatures pour gambader dans la campagne anglaise. Yeeek.

Sinon, on a commencé la série Trinity, une petite série anglaise bien sympa, un peu trash, un peu caricaturale, mais sacrement divertissante et typiquement anglaise! Rafraichissant !

Encore plus rafraîchissant, le joli déluge ce matin, neige, inondations, le bonheur ! Compteur : 19/22 jours de pluie.

mercredi 17 février 2010

What about eyes?

Bon, après bientôt un mois, je me sens prête à ramener ma fraise sur l’opération Lasik, qui te ratiboise la cornée au sabre laser pour que les taupes comme moi deviennent des aigles (c’est beau !).

J’avais décidé de me faire opérer à Lyon et pas chez les Roast Beefs, non pas pour des histoires d’assurances (dans les deux cas, je pouvais me brosser pour revoir un centime de mes sous…), mais tout simplement parce que, pour les mêmes interventions, c’était deux fois moins cher en France. Autre avantage, c’est vachement agréable de pouvoir parler avec des vrais mots à son futur chirurgien, et pas baragouiner en anglich, pour une fois. Ca met en confiance.

J’avais un entretien pour voir si j’étais opérable la veille de Noel. Les gens dans la clinique étaient très gentils (bon, à ce prix là, ils peuvent être gentils, aussi), et la salle d’attente bien confortable, ce qui est important, vu le temps passé à attendre. Comme j’étais opérable et que je vis sur une ile polaire, ils ont réussit à me caser le rendez vous préopératoire avec le chirurgien le jour même pour m’éviter des aller retours, ce qui était quand même vachement sympa (surtout la veille de Noel en fin de journée).

Bref, tout est allé très vite. En ressortant, j’avais ma date d’opération, pour le 26 janvier, donc un mois plus tard.

Comme j’étais très taupe, l’opération que j’ai prise c’est la LASIK avec laser femto secondes, la plus chère (forcement), tout au laser. En gros, on découpe (ici au laser, mais ca peut se faire avec une lame) la surface de la cornée, puis ce clapet est soulevé. Là, le laser te ratiboise juste ce qu’il faut pour avoir une bonne vue, le clapet est reposé, et hop, c’est fini ! Il y a peu de risques pour que ça se passe mal pendant l’opération, il faut surtout être prudent pendant la cicatrisation, pour pas s’arracher la cornée par inadvertance ou se chopper une infection.

L’opération en elle-même, c’est un peu désagréable. Je dis un peu, je suis gentille, c’est vraiment atroce. Mais c’est rapide, heureusement ! Après, tu souffres pas mal (pas mal beaucoup) pendant 2 heures environ, puis tu peux ouvrir un peu les yeux, donc rentrer chez toi. Mais c’est le lendemain que c’est vraiment le pied : Aucune douleur, une vue super, c’est magique !

Voila, après, pendant une dizaine de jours, faut juste se balader avec des lunettes de soleil (en hiver ou le soir, t’as l’air con quoi), se scotcher des coques en plastiques la nuit, et se mettre des gougoutes souvent.

Perso, j’ai eu des douleurs dans un œil après une semaine pendant quelques jours, mais c’est vite passé, et là je vois tout bien !

  • Sinon, le compteur en est à 16/17 jours de pluie!

lundi 15 février 2010

Flimy Sunday

Ce week end a été fortement orienté films à Mignon-Village-Sur-Tamise. Faut dire que le temps de chien (14/15 jours de pluie) nous a pas vraiment motivés à mettre un orteil dehors. C’était pas l’envie qui nous manquait d’aller faire chauffer nos cartes « English Heritage » flambantes neuves, mais affronter le brouillard, le blizzard, le froid, la pluie et la boue pour aller mater des ptits cailloux empilés (les monuments anglais ont tendances à être un peu vieillots), très peu pour moi !


Donc nous avons regardé trois films :

  • La Vague (Die Welle) : Ce film allemand raconte l’histoire vraie d’un prof qui, pour montrer à ses élèves ce qu’est l’autocratie, crée une dictature d’une semaine dans sa classe. Il montre des valeurs telles que la discipline, l’esprit communautaire, et crée une vraie communauté avec un nom, un symbole, un signe, etc… Les élèves passent du scepticisme à l’enthousiasme, certains sont neutre d’autre hostiles, etc… C’est une vraie étude du comportement humain et des dérives d’un concept chouette. Par contre, l’histoire est une adaptation de la réalité, qui n’est pas très bien connue. En réalité, l’histoire se passe en Californie, et le professeur responsable n’est pas très précis dans son témoignage… Depuis que je sais ça, j’arrête pas de me demander ce qui est vrai, ce qui est crédible, ce qui est amplifié, inventé, etc… Bref, grosse prise de tête. Mais ce film est très chouette, les acteurs sont bons, le scenario fascinant, et la bande son pas mal du tout !

  • Mesrine : On n’a vu que la première partie pour le moment (L’instinct de mort), et c’est pas mal. Le film va vite, ce qui est à la fois dommage (on rate des choses) et donne un très bon rythme au récit. J’aime ce style de films, mais j’ai vraiment eu l’impression de regarder « Le dernier gang » que j’avais vachement aimé. Copier c’est tricher….

  • Twilight : Mmmh, j’avais résisté a la folie Twilight sans trop de problème, mais je commençais à être curieuse, alors pour meubler un long après midi d’hiver, je me suis lancée. Comme redouté, c’est une daube sans nom, c’est mièvre et dégoulinant. Heurk, Bram Stoker doit s’en retourner dans sa tombe. En même temps, je suis vache, c’est destine à un public d’ado, mais je suis pas sure que c’est leur rendre service… N’empêche que je vais regarder le 2 bientôt, je suis curieuse comme un pou, j’ai honte…

Voila, à part ça Skins est toujours aussi bon cette saison, et, EUX, ne prennent pas les ados pour des cons ! J’en reparlerai bientôt.

ET enfin, je n’ai qu’une prière : Chère Reine Mère, si, au boulot, on pouvait arrêter de me prendre pour la secrétaire juste parce que je suis la seule fille, ca serait vraiment sympa ! Mon job est déjà assez chiant sans avoir à faire le café et répondre au téléphone. Merci.

jeudi 11 février 2010

L'électronique, c'est fantastique!

En direct de Londres, où la neige tombe régulièrement depuis le début de la semaine, faisant joyeusement monter mon compteur à 10 jrs de pluie sur 11! Car oui, la neige, ça compte aussi, c'est pas parce que c'est plus mignon que c'est pas une vraie saleté!

La semaine de formation se passe bien, à ingurgiter de C++ en quantités faramineuses. ça commence à être difficile de suivre, mais je vois mon CV gonfler à vue d'oeil, forcement, ça motive! L'autre avantage de cette formation, c'est que c'est resto tous les soirs, aux frais de la boite, ptits dèjs gargantuesques tous les matins (merci buffet!) et grosse cure de sommeil, vu que la journée commence a 9h30 et que l'hôtel est à 15 minutes du centre.

Mais il y a quand même quelques inconvénients! D'abord le Bed and Breakfast. Souvent, c'est pas mal, mais ça reste assez limité. Par exemple, ma chambre est sous les toits, et je ne peux pas ouvrir les rideau de mon unique fenêtre (qui ressemble drôlement à une meurtrière antique), donc il fait nuit tout le temps. Ca encore, ça va. Le plus délicat, c'est la salle de bain. Elle est tellement petite que non seulement je ne peux pas ouvrir la porte sans dégommer le lavabo, mais en plus la baignoire est complètement coincée entre les deux murs, c'est vachement marrant, je ne peux monter dedans que par le bout.

Par contre, prendre une douche devient franchement héroïque. Une fois l'eau réglée, elle subit la loi de tous les hôtels cheaps, la température et le débit changent dès qu'un autre malheureux se douche, boit de l'eau ou tire la chasse.
En général, avec un peu d'entraînement, on arrive à ne pas s'ébouillanter, en effectuant un gracieux saut de coté au moindre signe alarmant, il suffit d'être vif (forcement, le matin, c'est risqué...) et de ne pas se fracasser le crâne en glissant.
Par contre, ici, le débit diminue tellement que la douche repasse en mode "bain", donc les trois gouttes d'eau (gelée ou bouillante) te tombent sur les orteils, ce qui, certes diminue grandement le risque de mourir surgelée, mais rallonge pas mal le temps de la douche et ton envie de massacrer les carreaux de la salle de bain à coup de pommeau de douche! Mais le ptit dej compense...

L'autre inconvénient, c'est de passer une semaine avec des gens de ton cours. Au début, c'est sympa, ce sont souvent de gentils inconnus, qui bossent dans des trucs de geeks aussi, donc on peu espérer du bon. Mais il suffit que deux d'entre eux soient vraiment à fond dans leur job ou leur formation pour s'en mordre les doigts, ils trouvent le moyen de te pourrir toute conversation et instant de détente par de vieille histoires scientifiques. Exemple concret: hier soir, nous nous sommes retrouvés à quatre pour aller boire une pinte au pub du coin. Tout se passait très bien jusqu'à mon retour de pause clope, alors que deux d'entre eux avaient commencé à parler microcontrolleurs! Voilà, j'ai donc passé une heure à siroter ma pinte en écoutant les deux tarés s'extasier sur leurs microcontrolleurs, avec une terrible envie de me jeter par la fenêtre...

Voilà, c'était une semaine sympa, mais j'ai hâte de rentrer chez moi et d'avoir des conversations autres que le C++ et l'électronique! Youpy!

Sinon, Google Buzz a l'air bien sympa, et un peu de musique, pas pour se pendre, mais parce que c'est joli:



lundi 8 février 2010

Life is a bitch!

L'avantage de se faire une soirée géniallissime avec les copains, c'est qu'on s'éclate. Grosse soirée samedi, old school, avec de la tequila, des chips, de la bière et du pub anglais. Bref, une bonne marrade! L'inconvénient, c'est qu'on se fait vieux, et que la récupération devient délicate. Il est fini le temps ou on pouvait enchaîner les shooters joyeusement, faire des conneries jusqu'à pas d'heure et gambader le lendemain comme des jeunes chiots!

Bon, techniquement, on n'a pas été si minables le lendemain, on est allés se balader. Et oui, on a su profiter de Mignon-Village-Sur-Tamise et son joli parc pour aller se traîner dehors et patauger dans la boue (oui, parce que même s'il ne pleut pas, c'est pas en une journée sèche que le sol arrive à éliminer les tonnes de litres de flotte qui sont tombés avant, faut pas rêver non plus). Perso, j'étais encore bourrée, donc avec mes dix grammes dans chaque bras, j'ai vachement apprécié la balade!

Ensuite, on est allés encourager l'équipe de France de Rugby, qui a mis une joli branloutte aux Ecossais (en même temps, un accent pareil, ils le méritent). L'avantage de supporter le Rugby, par rapport au foot, c'est que y'a de l'action (plus que 30 secondes toutes les 20 minutes), des mâles à mater (faut bien qu'on s'occupe), et surtout, on est pas morts de honte d'être français (la dernière fois que j'ai supporté l'équipe de France de foot, je me ratatinais sur mon siège en voyant le niveau).
Bref, bon week end!

Le pas de bol, c'est que, pour une raison inconnue, je suis passée en mode insomnie hier soir (vraiment pas de bol, c'est pas l'envie de dormir qui me manquait), ce qui fait que j'ai eu une journée un peu longuette. Je suis en effet en formation d'une semaine à Londres, et j'ai passé la journée la paupière lourde, à lutter comme une éperdue pour pas piquer du nez, la tête dodelinante, le tout sous le nez du formateur... La classe!

Voilà, donc je vais me coucher comme une poule ce soir, j'en rêve...

Sinon, le compteur en est à 7/8 jours de pluie, et voilà la future étape de notre vie à la campagne, beeeeeeeeeeeh Hi hi hi, j'ai super hâte d'aller voir les ptits agneaux et de faire du tracteur! A part ça, bientôt des trucs intéressant, mon cerveau est trop à l'Ouest, aujourd'hui!

Zzzzzzzzzzzzz

vendredi 5 février 2010

Obsidian Butterfly

Allez, un ptit post d’optimiste de fin de semaine, le week end arrive enfin! Semaine très chargée en boulot, donc pas trop le temps d’écrire… Donc cette semaine :

J’ai fini le tome 11 de la série de bouquins Anita Black, Vampire executioner. J’en avais parlé brièvement quand je me lançais tout juste dedans, et les choses ont pas mal changé en 11 tomes. Anita Black est une « Animator », c'est-à-dire qu’elle sort de la tombe des zombies pour ses clients, pour des raisons légales ou des témoignages. En parallèle, Anita est l’ « executioner » de son état, c’est elle qui doit tuer les vampires hors la loi sur ordre de la justice (et c’est pas de la tarte). Elle est aussi experte en créatures surnaturelles auprès de la police, donc appelée sur des scènes de crime pour les analyser. Bref, le début est vachement bien, Anita, elle se bat, elle galère pour se faire respecter dans un monde de brutes finies, c’est marrant. Evidement, elle se fait draguer violement par un vampire super attirant, mais elle mange pas de ce pain là, Anita, ha ha. Après, elle rencontre un beau jeune homme, qui se révèle être un loup garou, et accessoirement le roi des loups garous de St Louis. J’aime bien l’évolution du personnage, elle devient plus dure, fait des compromis avec sa morale, et s’en rend compte.

Puis elle fini dans un triangle amoureux entre le roi des loups garous et le roi des vampires, et là, c’est le drame. Après des tomes de chasteté, Anita se lâche, elle est attirée par tout ce qui bouge, fini par se taper la terre entière, sous couvert d’une soif incontrôlable héritée de son copain Vampire l’ardeur. Donc non seulement y’a du sexe toutes les deux pages, mais en plus c’est pas sa faute la pauvrette (paye ton discours de déculpabilisation). En plus, y’a pas que de la soif de sexe, il y a aussi de la soif de viande (car Anita est aussi liée à son loup garou, et est chef des léopards garous de la ville, donc est habitée par une bête) et de sang. Bref, ca devient too much. Tous les hommes qu’elle croise sont beaux, elle lutte contre des vagues de désirs incontrôlables, trop de sexe, trop de pouvoirs, trop de soif. Voila, c’est bien dommage, parce que le reste des intrigues reste très sympa.

Je recommande donc la série jusqu’au tome Obsidian Butterfly (le num 9) !

  • Sinon, le Chubchub et moi avons commencé la dernière saison de Lost hier, Yeeeeek. Voila, on est donc prêts à crever de curiosité et de frustration tout les les semaines jusqu'à mai… Pauvres de nous.
  • Je viens de commencer un décompte : Les nombre de jours ou il pleut dans l’Oxfordshire. Les règles sont simples, un jour de pluie est un jour où on a vu de la pluie tomber (donc les routes mouillées le matin ne comptent pas). Le décompte a commencé le 1ier février, et nous en sommes à 5 jours de pluie sur 5 ! Je sens que ca va pas être trop compliqué, tout ça…
  • Et enfin, Youpy ! On a nos places pour voir Them Crooked Vultures le 22 Mars à Londres !