Dollhouse

Dollhouse est une série créée par Joss Whedon (créateur de Buffy) l’année dernière. Elle reprend donc cette année pour une deuxième saison.

J’avais commencé à suivre Dollhouse l’année dernière par désœuvrement, et par vote de confiance pour le réalisateur. Je me suis accrochée avec beaucoup de foi au début de la première saison, et mes efforts ont été récompensés. A partir de l’épisode 6 de la saison 1, la série devient passionnante, enfin!

L’histoire est celle d’une organisation secrète qui possède des «actifs», gens dont la personnalité a été effacée, et qui sont embauchés pour des missions commandées par des clients. A chaque mission, l’actif récupère une personnalité différente, qui est «effacée» à la fin. La série est donc construite avec des histoires (contrats) à chaque épisode et plusieurs trames qui se suivent : Un agent du FBI qui essaye désespérément de prouver l’existence de la Dollhouse, l’inquiétante menace d’un ancien actif : Alpha, et des effets étranges liés aux changements de personnalités des Dolls.

Il y a pas mal de problématiques posées, sur l’éthique, le trafique d’êtres humains, la science, etc… C’est très intéressant et l’intrigue se corse rapidement pour devenir captivante.

Le plus gros défaut de la série vient de l’actrice principale, qui est tellement nulle que ça en est pénible. C’est Eliza Dushku, qui prouve très efficacement qu’elle ne sait pas jouer, puisqu’elle réussit l’exploit d’être incroyablement fadasse quelque soit sa «personnalité»! Dommage.

Par contre, en farfouillant sur le net, j’ai trouve des anecdotes sur notre gourdasse de service :

• Elle jouait avec Leonardo Di Caprio et De Niro dans l’excellent «The Boy’s Life», que j’ai vu il y a trop longtemps pour me rappeler d’elle .

• Et un peu de potins : Elle sort avec Rick Fox, alias Jackson Vahue dans OZ (qui est réellement basketteur) .