lundi 6 septembre 2010

Optimisme


Ola!

De retour après 4 jours à Paris, épuisants mais chouettes.

Une fois n’est pas coutume, j’ai un aveu à faire: j’ai bien aimé Paris. Ca me fait sacrément bizarre, faut bien le reconnaitre, j’en suis toute chamboulée, je me demande si je ne suis pas en train de muter en bisounours.

Exemple : Je monte dans le bus, et je demande au chauffeur un renseignement, la peur au ventre, prête à me faire aboyer dessus, puis caillasser la tronche à coups de poings américains. Et ben non, le mec a été tout gentil, serviable, poli, souriant, etc…

Et ça m’est arrivé PLUSIEURS fois !

On à mangé dans des restos où le personnel était gentil, et où personne n’a essayé de nous cracher dessus en nous amenant nos expressos, on a parlé avec des gens sympas, et même blagué avec eux. Et, oh miracle, on n’a pas croisés d’araignées pendant tout le séjour, les joies de la ville. En plus, il a fait beau pendant 4 jours d’affilée, sans pluie ! On était vachement émus, on n’avait pas connu ça depuis la Corse.

Tiens, d’ailleurs, en cadeau de retour, on a ça :

Ouuu, la classe, je sais faire des imprime-écrans sur mon iphone!

Bref, bon séjour. Bien épuisant, vu qu’on a cavalé sans interruption dans tout Paris (ou presque), les dossiers de location sous le bras, les plantes de pieds douloureuses et les genoux grinçants.

Bon, chercher un appart sans taf (malgré les garants et les diplômes) c’est un peu comme courir le 100 mètres avec une jambe dans le plâtre, certains agents immobiliers nous ont copieusement ri au nez en nous jetant de leur agence comme des pouilleux, mais on a quand même des pistes, et certains agents sont sympas. Si si.

Niveau entretiens, ça c’est bien passé aussi.

Bref, plus qu’à être patiente. La blague. Je suis aussi patiente que danseuse étoile, moi. Donc pas. Même pas peur, je bouffe de l’optimisme au ptit déj, je picole de l’optimisme, je respire l’optimisme, je transpire l’optimisme. Na.

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